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Appuyez les grévistes des Fonds non publics

À titre de membres du personnel de soutien des Forces canadiennes, vous êtes l’épine dorsale des services aux militaires, aux vétérans et à leurs familles.

Les programmes et services que vous fournissez génèrent des profits pour Services de bien-être et moral des Forces canadiennes (SBMFC), mais l’employeur refuse d’offrir des salaires équitables à plus de 500 d’entre vous, qui sont en grève à Bagotville, Montréal, Saint-Jean, Valcartier, Kingston, Ottawa et Petawawa.

Envoyez une lettre en solidarité avec les grévistes

SBMFC a acculé les membres de l’AFPC-UEDN au mur en les forçant à faire la grève pendant plus de 60 jours. C’est pourquoi on demande à tout le monde de les boycotter.

Ce boycottage est plus qu’une façon de protester; c’est une façon de souligner que toutes les personnes qui travaillent sont importantes, peu importe leur salaire.

Comment participer au boycottage

Pour les militaires et les membres de leurs collectivités qui ont recours aux mêmes services sur les bases du pays, boycotter les SBMFC, c’est choisir consciemment d’autres services et encourager leur entourage à suivre leur exemple.

En choisissant de dépenser notre argent ailleurs que sur les bases, on peut exercer une pression financière sur les SBMFC et leur dire clairement que nos troupes et nos collectivités nous appuient dans notre lutte pour la dignité.

C’est quoi au juste, boycotter les SBMFC? Voici quelques exemples : 

  • Fréquenter seulement les centres de conditionnement privés et les centres communautaires.
  • Participer uniquement à des ligues sportives et des activités récréatives à l’extérieur des bases militaires ou en organiser soi-même.
  • Éviter CANEX au profit des magasins de détail et des commerçants locaux.
  • Sortir seulement dans des restaurants, des cafés et des bars du coin.
  • Choisir exclusivement des activités et des concerts organisés par des organisations communautaires ou des chambres de commerce.

À tout le moins, parlez de la grève aux militaires, à vos voisins et au personnel des SBMFC. Discutez avec eux des raisons du boycottage et de l’importance pour les travailleuses et travailleurs d’être payés équitablement. Favoriser la compréhension et l’empathie peut rallier plus de gens à la cause des grévistes et les aider à conclure une entente équitable.

Autres formes de soutien aux grévistes

Même si vous n’habitez pas à proximité d’une base militaire, vous pouvez tout de même être solidaires des grévistes de L’AFPC-UEDN et les aider à serrer la vis à l’employeur.

  • Signez notre lettre à Bill Blair, ministre de la Défense nationale, et Anita Anand, présidente du Conseil du Trésor, pour leur demander d’obliger l’équipe de négociation des SBMFC à se présenter à la table avec une offre juste et équitable.
  • Déclarez votre solidarité et expliquez pourquoi vous appuyez la grève du personnel de soutien des bases militaires. On affichera vos messages de solidarité sur la page Web créée à cet effet.
  • Affichez notre fond d’écran virtuel, ajoutez notre image de profil dans les médias sociaux et placez bien en vue notre affiche imprimable.
  • Parlez-en autour de vous et dans les médias sociaux pour aider à renforcer l’appui aux grévistes et promouvoir le boycottage.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Grève au Conseil du Trésor : date limite pour signaler les activités des briseurs de grève

Photo du drapeau du SDI

Tel que communiqué le 9 juin 2023, le SDI a mis sur pied un comité d’enquête pour examiner les allégations concernant les membres occupant des postes non essentiels qui ont continué à travailler pendant la grève au Conseil du Trésor, plus tôt ce printemps. Ce comité doit présenter ses conclusions au Comité exécutif de l’Alliance (CEA) de l’AFPC au plus tard six mois après la signature des conventions collectives PA, EB, TC et SV.

Comme les conventions PA et TC ont été signées le 28 juin, cela signifie que le comité doit présenter ses conclusions au CEA au plus tard le 28 décembre 2023. Par conséquent, afin de donner au Comité suffisamment de temps pour enquêter sur les plaintes et publier un rapport, le SDI acceptera les allégations visant les activités de briseurs de grève jusqu’au 30 juillet 2023, à 23 h 59, heure de l’Est. Les plaintes reçues après la date limite ne feront pas l’objet d’une enquête.

Si vous avez été témoin ou si vous avez eu connaissance qu’un membre PA, EB, TC ou SV du SDI a travaillé pendant la grève (du 19 au 28 avril inclusivement) alors qu’il occupait un poste non essentiel, vous pouvez déposer une allégation à cet effet en nous envoyant un courriel à l’adresse plaintes@ciu-sdi.ca en utilisant votre adresse électronique personnelle (et non celle de l’ASFC), d’ici le 30 juillet. Veuillez indiquer le(s) nom(s), le(s) lieu(x) de travail, le(s) témoin(s) et la(les) date(s), ainsi qu’une description succincte de l’incident ou des incidents, et vos propres coordonnées.

Conformément au paragraphe 4 de l’article 25 des Statuts de l’AFPC, les membres reconnus coupables de s’être adonné à des activités de briseurs de grève peuvent faire l’objet de mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’à la suspension de leur statut de membre et « l’imposition d’une pénalité qui équivaut au montant de la rémunération quotidienne reçue par le membre, multiplié par le nombre de jours pendant lequel le membre a franchi la ligne de piquetage, effectué du travail pour le compte de l’employeur ou effectué volontairement du travail des grévistes. »

Les membres de l’AFPC ratifient les nouvelles ententes pour plus de 155,000 membres

Les membres de l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) qui relèvent du Conseil du Trésor et de l’Agence du revenu du Canada ont voté massivement pour leurs ententes de principe respectives. Les membres des unités de négociation PA, SV, TC, EB et ARC ont pris part aux votes de ratification qui se sont tenus partout au pays du 24 mai au 16 juin.

Les nouvelles conventions collectives – en vigueur de 2021 à 2024 – prévoient des augmentations de salaire cumulatives qui viennent combler l’écart causé par l’inflation, totalisant 12,6 % sur quatre ans. Les membres ont également obtenu la meilleure protection au pays en matière de télétravail, une plus grande sécurité d’emploi ainsi qu’un engagement de la part du gouvernement de rendre les milieux de travail plus sécuritaires et plus inclusifs.

« Aujourd’hui, nous saluons nos membres qui nous ont témoigné un appui et une solidarité indéfectibles tout au long du processus de négociation et durant l’une des grèves les plus déterminantes de toute l’histoire du pays », a déclaré le président national de l’AFPC, Chris Aylward. « Ensemble, nous nous sommes battus. Ensemble, nous avons remporté des gains considérables qui ont fixé la barre pour l’ensemble des travailleuses et des travailleurs au Canada. »

Lisez la suite:

Prochaines étapes 

Au cours des prochaines semaines, l’AFPC rencontrera les représentants du Conseil du Trésor et de l’ARC pour signer les nouvelles conventions collectives. Toutes les dispositions non pécuniaires entreront en vigueur immédiatement après la signature.

Le Conseil du Trésor et l’ARC disposent de 180 jours à partir de la date de signature des nouvelles conventions collectives pour appliquer les nouveaux taux de rémunération et verser la paye rétroactive pour la période qui s’est écoulée depuis l’expiration des conventions précédentes.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Dons au Syndicat des employé-e-s du Nunavut : Soutenez les grévistes | ᐃᑲᔪᕈᒪᔪᑦ ᑮᓇᐅᔭᖅᑎᒍᑦ ᑐᓂᓯᔪᓐᓇᖅᑐᑦ ᓄᓇᕘᒥ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑏᑦ ᑲᑐᔾᔨᖃᑎᒌᖏᓐᓄᑦ : ᐃᑲᔪᕈᒪᓂᖏᑦ ᐱᓱᑉᐸᑦᑐᓂᑦ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑎᓂᑦ

Les membres de l’AFPC-SENu (Syndicat des employé-e-s du Nunavut) qui travaillent pour l’Office d’habitation d’Iqaluit sont en grève depuis près de trois mois (lien en anglais). Pendant cette période, l’employeur a agit de façon absolument consternante. En effet, l’Office a mis les travailleuses et les travailleurs en lock-out deux jours après que les membres soient rendus sur les lignes de piquetage le 17 mars, a eu recours à des briseurs de grève (tout en niant l’avoir fait) et a proposé à la table de négociation un langage qui ne sert qu’à insulter, rabaisser et infantiliser les grévistes. Bien que le lock-out ait été levé depuis, l’offre et le comportement de l’employeur restent totalement inacceptables et la grève se poursuit.

Plus tôt cette semaine, l’exécutif national du SDI a voté en faveur d’un don de 1500 $ au SENu afin de soutenir les grévistes dans leur lutte contre un employeur tant injuste que déraisonnable. Nous encourageons les succursales du SDI à faire un don, quel qu’en soit le montant. Ce mépris flagrant des droits des travailleurs et des droits de la personne ne peut être toléré. Veuillez consulter la dernière mise à jour sur les négociations du SNEu (en anglais) ou visiter https://www.neu.ca/ pour plus d’informations sur ce conflit de travail scandaleux.


ᑭᒃᑯᑐᐃᓇᓐᓄᑦ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑏᑦ ᑲᑐᔾᔨᖃᑎᒌᖏᓐᓂᑦ ᑲᓇᑕᒥ-ᓄᓇᕘᒥ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑏᑦ ᑲᑐᔾᔨᖃᑎᒌᖏᑦ ᑭᒡᒐᖅᑐᐃᔨᖏᑦ ᐱᓕᕆᐊᕆᔭᖏᓐᓂᑦ ᐃᑲᓗᓐᓂ ᐃᓪᓗᓕᕆᔨᒃᑯᑦ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑎᖏᑦ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑕᐃᓕᓯᒪᓂᖏᑦ ᑕᖅᑭᐅᓗᐊᑦ ᒪᕐᕉᓕᖅᑐᑦ ᐅᖓᑖᓄᑦ.  ᑕᕝᕘᓈᖅᑎᓪᓗᑕ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᕝᕕᐅᑉ ᐱᓇᓱᐊᕐᓂᖏᑦ ᓇᕐᕈᓇᖕᒪᕆᒃᐳᑦ, ᐃᓪᓗᓕᕆᔨᒃᑯᓪᓗ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑎᓂᑦ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᕈᓃᖁᔨᓪᓗᑎᑦ ᐋᔩᖃᑎᒌᑎᓪᓗᒋᑦ ᐅᓪᓗᓄᒃ ᒪᕐᕉᖕᓄᒃ ᐱᓱᓕᑕᐃᓐᓇᑎᓪᓗᒋᑦ ᒫᑦᓯ 17ᖑᑎᓪᓗᒍ, ᐊᓯᖏᓐᓄᓪᓗ ᓵᙵᖔᓕᖅᓱᑎᑦ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑎᒃᓴᓂᑦ (ᑕᐃᒪᐃᙱᖑᐊᖅᑐᑦ) ᐅᖃᐅᓯᐅᓪᓗ ᒥᔅᓵᓄᑦ ᐋᔩᖃᑎᒌᑦᑎᓪᓗᑕ ᓈᒻᒪᙱᓐᓂᖅᐹᒥᑦ ᓱᕐᓗ ᒥᑭᓪᓕᑎᒃᓯᓇᓱᑐᐃᓐᓇᕋᒥ, ᓱᕈᓯᓛᖅᑎᑐᓪᓗ ᐱᔭᐅᓪᓗᑎᑦ ᓇᒻᒥᓂᖅ ᐃᓱᒪᖃᖏᑦᑐᑎᑐᑦ.  ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᒍᓐᓃᖁᔭᐅᓂᖏᑦ ᐲᖅᑕᐅᓯᒪᓕᖅᑑᒐᓗᐊᑦ ᑭᓯᐊᓂ, ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᕝᕖᑦ ᐱᐅᓯᖓᑦ ᐋᔩᖃᑎᒌᕈᑕᐅᔪᓂᑦ ᓱᓕ ᓈᒻᒪᔅᓯᓯᒪᖏᒻᒪᑦ, ᑕᐃᒪᐃᖕᒪᑦ ᓱᓕ ᓄᖅᑲᖓᕗᑦ ᐱᓱᑉᐸᑦᑐᓪᓗ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑏᑦ.

ᐱᓇᓱᐊᕈᓯᕆᔭᑦᑕ ᓯᕗᓂᐊᒍᑦ, ᓴᓇᔪᓕᕆᔨᒻᒪᕇᑦ ᓂᐅᕐᕈᑎᒃᓯᔩᓪᓗ ᑭᒡᒐᖅᑐᐃᔨᖏᑦᑕ ᑲᑎᒪᔨᖏᑦ ᓂᕈᐊᓐᓂᓚᐅᖅᑐᑦ ᑐᓂᓯᒍᒪᓪᓗᑎᑦ ᑮᓇᐅᔭᓂᑦ ᐃᑲᔪᕈᒪᓂᒻᒥᓄᑦ $1500ᓂᒃ  ᑖᒃᑯᓇᙵᑦ ᑭᒡᒐᖅᑐᐃᔪᓂ ᑐᕌᖓᓂᐊᖅᑐᓄᑦ ᐱᓱᑉᐸᑦᑐᑦ ᐱᓪᓗᒋᑦ ᐊᖓᔪᖄᖃᑲᒻᒪᑦᑐᑎᑦ ᓈᒻᒪᒍᓐᓃᖅᑎᒃᓯᓂᒧᑦ.  ᑲᔪᖏᖅᓱᐃᕗᒍᑦ ᓴᓇᔪᓕᕆᔨᒻᒪᕇᑦ ᑭᒡᒐᖅᑐᐃᔨᖏᑦ ᑕᐃᒫᔅᓴᐃᓐᓇᖅ ᐃᑲᔪᖁᓪᓗᒋᑦ ᖃᑦᓯᑐᐃᓐᓇᓯᐊᒻᒥᑦ.  ᑕᒪᓐᓇ ᖁᔭᓈᖅᓯᓯᒪᓂᖅ ᐃᖅᑲᓇᐃᔭᖅᑎᖁᑎᒻᒥᓂᑦ ᐊᒻᒪᓗ ᑭᒃᑯᓕᒫᑦ ᐱᔪᓐᓇᐅᑎᖏᑦ ᑕᑯᓪᓗᒋᑦ ᓈᒻᒪᖏᒻᒪᑦ.  ᑕᑯᒋᐊᒃᑭᑦ ᒫᓐᓇᐅᔪᖅ ᑭᒡᒐᖅᑐᐃᔩᑦ ᐊᑐᖅᑕᖏᑦ ᐅᕝᕙᓘᓐᓃᑦ ᐃᑭᐊᖅᑭᕕᐊᓄᑦ www.neu.ca ᑐᑭᓯᒋᐊᒃᑲᓐᓂᕈᒪᒍᕕᑦ ᖃᓄᐃᓘᓕᒻᒪᖔᑕ ᐱᓗᐊᖅᑐᒻᒪᕆᐊᓗᒃᑯᑦ ᐋᔩᖃᑎᒌᖕᓂᖏᑦ.

Un message du président national du SDI concernant les activités des briseurs de grève pendant la grève au Conseil du Trésor

Photo du drapeau du SDI

À tous les membres du SDI des groupes PA, EB, TC et SV:

La solidarité et le militantisme exemplaires présents sur les piquets de grève à travers le pays lors de la grève au Conseil du Trésor plus tôt ce printemps ont abouti à un accord de principe solide, dont vous pouvez être fiers. Ne vous méprenez pas : sans cette grève, sans les efforts combinés de nos membres pour exiger mieux de l’employeur, vous n’auriez pas obtenu une aussi bonne entente que celle sur laquelle vous avez aujourd’hui l’occasion de vous prononcer.

Malheureusement, pendant la grève, une poignée de membres du SDI ont choisi de franchir la ligne de piquetage, continuant à se présenter au travail pour un employeur qui, tout au long du processus de négociation, a montré le peu de cas qu’il faisait de la juste valeur du travail de son personnel. Ces membres profitent aujourd’hui des avantages que d’autres ont obtenus pour eux, agissant d’une manière qui constitue un affront aux membres qui ont fait de grands sacrifices pour obtenir une convention collective équitable.

Conformément à l’alinéa 25 (6)(n) des Statuts de l’AFPC et au paragraphe 16 du Règlement 19 des Règlements de l’AFPC, le SDI a mis en place un comité chargé d’enquêter sur les allégations concernant les membres occupant des postes non essentiels qui ont continué à travailler pendant la grève. Si vous avez été témoin ou si vous avez eu connaissance qu’un membre PA, EB, TC ou SV du SDI a travaillé pendant la grève (du 19 au 28 avril inclusivement) alors qu’il occupait un poste non essentiel, vous pouvez déposer une allégation à cet effet en nous envoyant un courriel à l’adresse plaintes@ciu-sdi.ca en utilisant votre adresse électronique personnelle (et non celle de l’ASFC). Veuillez indiquer le(s) nom(s), le(s) lieu(x) de travail, le(s) témoin(s) et la(les) date(s), ainsi qu’une description succincte de l’incident ou des incidents, et vos propres coordonnées.

Toutes les allégations seront examinées par le comité d’enquête du SDI. Conformément au paragraphe 4 de l’article 25 des Statuts de l’AFPC, les membres reconnus coupables de s’être adonné à des activités de briseurs de grève peuvent faire l’objet de mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’à la suspension de leur statut de membre et « l’imposition d’une pénalité qui équivaut au montant de la rémunération quotidienne reçue par le membre, multiplié par le nombre de jours pendant lequel le membre a franchi la ligne de piquetage, effectué du travail pour le compte de l’employeur ou effectué volontairement du travail des grévistes. »

À toutes les personnes qui ont fait preuve de solidarité pendant la grève, je dis merci. Unis, il n’y a pas grand-chose que nous ne puissions accomplir, et votre ténacité est le fondement même de ce qui fait la grandeur de notre syndicat. Aux quelques personnes qui ont choisi de devenir des briseurs de grève, je demande instamment de prendre un moment pour réfléchir à la manière dont vous avez choisi de traiter les collègues avec qui vous travaillez tous les jours. Ils méritent certainement mieux.

En toute solidarité,

Mark Weber
Président national


Mise-à-jour, 5 juillet 2023

Le SDI acceptera les allégations visant les activités de briseurs de grève jusqu’au 30 juillet 2023, à 23 h 59, heure de l’Est. Voir l’article suivant pour plus d’informations.